accueil-menu
blockHeaderEditIcon

maisontitre
blockHeaderEditIcon

  Racine solide pour concrétiser ce qui est né à l'Ascendant, voici la Maison IV  

maison3gauche
blockHeaderEditIcon

Grâce aux Maisons I, II et III, si tout s’est bien passé, on a pu se séparer, prendre de la distance. On s’approche ainsi de la capacité à dire «je», de se concevoir en tant que personne séparée. C’est la 2e naissance en tant que personnalité. L’Ascendant étant la naissance en tant qu’être humain. Il s’agit ici de quitter la mère et tout ce qui est collectif, la famille, le clan, la tribu, «Je ne peux plus me noyer dans le collectif, je me définis, je porte un prénom». 
Accentuer ses différences, se distinguer, devenir quelqu’un de particulier, c’est choisir la voie du Soleil. Le Soleil se lève et se montre, c’est un être distinct, il ose, c’est le triomphe du courage sur la peur de vivre. 
Apprendre à se différencier, c’est suivre l’image du Père qui nous montre ce qui est autre que la Mère, l’indifférencié. Le Père est le Modèle d’indépendance qui aide l’enfant à se séparer de la Mère primordiale.
Soleil, Héros, Père sont synonymes, mais veulent dire accent sur l’individu. Naître, c’est quitter la fusion avec la Mère et s’engager dans la voie de la différenciation. L’orbite de la Lune autour de la terre forme une enveloppe, qui au départ fait que nous sommes un avec la mère, la Lune.

La IV c’est la Maison du père. Elle pose la question de la légitimité, de devenir soi. A-t-on le droit d’être un individu? A-t-on le droit d’être hors de la mère, hors du collectif, hors de l’inconscient, hors de l’indifférencié? 

On trouve dans le symbolisme du Fond du Ciel, le maître de la confiance en soi avec l’énergie du Signe et de son maître. C’est la racine solide pour concrétiser ce qui est né depuis l’Ascendant qui va permettre de répondre à la question de quoi suis-je capable? Le Soleil qui est enfoui en nous, va-t-il briller en Maison V? Pour cela il faut contacter la perle (l’enfant divin) en IV. La IV est la naissance de celui qui prend sa vie en charge avec une totale autonomie, en lien avec le quatrième Signe du Zodiaque, le Cancer. C’est la crise d’incarnation, devenir son propre père.

Au cours du développement de notre personnalité – développement généralement cyclique – vient un moment où il est nécessaire de mettre fin à l’effort que nous avons fait pour comprimer les énergies de la nature en les transformant en pensée, intelligence et valeurs individuelles. L’ingénieur construit un barrage pour retenir l’eau d’une rivière; cela lui permet de transmuer leur pesanteur en électricité et en lumière. 

 Toutefois ce barrage ne peut dépasser une hauteur au-delà de laquelle il s’écroulerait sous le poids de l’eau accumulée. De même, un individu ne devrait pas augmenter continuellement l’état de tension engendré par la pensée. Il faudrait mieux qu’il n’essaie pas d’assimiler une masse toujours croissante de faits, d’un dynamisme inquiétant, arrachés à des domaines de la nature de plus en plus vastes, car son entendement pourrait éclater sous la pression énergétique dégagée par trop d’expériences personnelles et de découvertes.

L’homme a besoin de stabilité 

Tôt ou tard il doit s’arrêter dans sa quête avide de sensations et d’expériences. Il doit mettre fin à ses tentatives passionnées pour contraindre la nature à suivre les voies tracées par son avidité intellectuelle de connaissance et de pouvoirs. L’homme doit s’arrêter; et ce besoin devient la substance de son plus grand test. Ce test peut se résumer ainsi: quand, où et comment un individu doit-il répondre à ce besoin et accepter de s’arrêter?
Quand, où et comment? Tout va dépendre des réponses. Là où un homme s’arrête, là aussi il établit les fondations de sa personnalité, de son logis permanent et, en fin de compte, de la forme que prendra son être après la mort physique. Il bâtira sur ces fondations; elles seront la base de son auto-expression, de sa progéniture, de sa renaissance spirituelle. Au moment où un homme dit: «Assez!», il enracine son Moi et sa destinée future et définit ainsi les limites de sa croissance ultérieure.

Pour s’élever il faut des fondations en profondeur. Pour atteindre les sommets majestueux de l’intelligence et leurs horizons immenses, il nous faut d’abord déterminer le degré de profondeur que nous voulons, mais aussi pouvons atteindre; dans ce sens, profondeur signifie proximité relative du centre du globe. Cette décision constitue un des tests les plus importants de la vie d’un être humain vraiment individualisé. Est-il prêt à s’enfoncer vers le centre de son être total. A-t-il la volonté suffisante pour l’atteindre? 
On ne peut faire cette expérience qu’après avoir traversé le centre de la terre. Le centre d’un être, c’est le nadir du thème natal. On doit atteindre ce nadir, sa propre profondeur, son propre «vide». Comme l’a dit un poète Irlandais: «Là où il n’y a rien, il y a l’Esprit».

C'est par la pensée que l'Homme crée les qualités

Au centre il n’y a rien. Toute la nature est équilibre autour de ce «néant» parce que les qualités dans l’Esprit divin n’existent pas encore. Tant que la conscience n’est pas née, les qualités restent inefficaces. C’est par la pensée que l’être humain crée les qualités.Les qualités, bien-mal, efficace-inefficace, différent-identique, bien-mal, beau-laid, etc., sont des couples de contraires qui ne sont pas, elles sont en équilibre et donc s’annulent dans leur opposition. Comme nous sommes la totalité, nous avons également en nous toutes ces qualités; et comme notre essence est, en son fondement différenciation, nous possédons ces qualités au nom et sous le signe de la différenciation.

maison3centre
blockHeaderEditIcon

C’est par la pensée que l’être humain crée les qualités dont il doit se différencier. C’est le travail de l’être humain de laisser l’âme et ses fonctions psychologiques s’orienter vers le «néant» pour y trouver les qualités contenues dans la plénitude divine. L’âme est le sujet du verbe, «au commencement était la Parole et la Parole était avec Dieu».

Quand il ne reste que la foi

Ce que l’on voit dans le thème, c’est les planètes à l’ְœuvre réparties dans les archétypes des Signes du Zodiaque qui provoquent la rupture de l’équilibre des qualités non encore différenciées. Mais comment cela peut-il être depuis que les hommes vivent coupés de la source des images primordiales. Cette conscience déracinée ne peut plus jamais invoquer l’autorité des images premières. Il ne reste que la foi en une croyance en laquelle tout le divin est projeté dans le monde extérieur, la science, la médecine, l’IA, les idéologies religieuses, etc. 

Le moi subjectif n’est pas capable d’entrer en relation avec la totalité. Mais pour ceux qui atteignent le centre de leur être, le noyau, le Soi, la semence de l’Homme totale, JE SUIS, offre un canal à aux réponses de l’Esprit. Ils deviennent créateurs ou destructeurs. Par leurs yeux qui connaissent le vide suprême, par leurs mains capables de labourer la surface des choses, l’Eternel «néant» se fait connaître. C’est Lui dont parle la Bhagavad Gita: «Au cœur de toute créature, demeure le Maître, Ishwara, qui, par son pouvoir magique, fait tourner toutes choses et toutes créatures sur la roue du temps. Prends refuge en Lui seul, de toute ton âme; par sa grâce tu obtiendras la félicité suprême, l’état éternel...».

En atteignant sa propre profondeur, en concentrant son attention sur la qualité du Signe sur la cuspide de la Maison IV, on construit quelque chose pour le futur, la pensée est axée sur le futur. Au nadir, on touche le fond du thème, le concret. Le fait qu’on ne trouve pas la sécurité dans le collectif, la famille, pousse à rechercher en soi-même la racine des réalités centrales. 
On se construit un «je» en IV pour répondre l’appel de la Maison VII, la rencontre avec le «tu» pour se relier à l’autre afin d’apprendre la mutualité pour dire «nous».

En IV on trouve la base à laquelle on s’identifie pour pouvoir se manifester. Mais il ne faut pas seulement la manifester, mais s’en servir pour manifester quelque chose de neuf. 
On peut travailler sur cette Maison toute sa vie, c’est un processus qui ne finit jamais car c’est une manifestation particulière de ce qui est tout universel. 
Quand ça ne va pas bien dans sa vie, on rentre en soi pour pratiquer une activité proche de l’énergie du Signe de son Fond du Ciel.
La faculté pour voir ce qui va et ne vas pas est nécessaire afin de pouvoir faire des choix. C’est ainsi qu’à chaque pas des préjugés vont tomber, donc ça va être pénible. La solution est de ne pas aller trop vite, d’assimiler pour intégrer, sinon on ingurgite et ça crée des fausses valeurs. Dans un processus qui veut qu’on assimile du neuf, il est aussi demandé d’expulser du vieux. Sentir son rythme, avoir confiance en ses moyens et ne pas les dépasser. Pour cela, il faut la discrimination de l’intelligence de la Maison III. 
En IV, on trouve un potentiel d’éléments pour devenir concret. Les conditions qu’on trouve en IV sont nécessaires pour définir et manifester ce qu’on est. Si on a des difficultés à s’adapter à sa culture, il faut se demander pourquoi en IV.

 La IV est la base de la fonction SENTIMENT. Ce que nous sommes devenus concrètement est la base de nos sentiments qui sont toujours personnels et les sentiments sont subjectifs.
C’est la fonction qui permet de décider si ce qui nous parvient par les sensations, la pensée et l’intuition nous convient ou non, si nous désirons ou non les accepter.

Le maître de la IV, et avec une ou des planètes ici, conditionnent l’attitude de la fonction sentiment qui sera vécue en V et VI. Ces sentiments sont ce qu’on croit être devenu sûr. Le rêve est en I, le concret en IV, et en V on trouve toutes sortes de choses. En V, on a la façon d’utiliser son énergie sentimentale, «on tombe amoureux», on développe sa créativité personnelle pour y découvrir ce qui se trouve en soi, mais on ne fait qu’aimer la face cachée de soi-même, on n’aime pas, c’est en VII qu’on aime. L’amour ne se limite pas à une seule personne ou à une seule activité créatrice, l’amour permet d’être bien avec tout les êtres et toutes les choses.
Au commencement, les Maisons IV et X symbolisent le conditionnement de notre développement. Donc les deux parents qui nous disent ce qu’on doit être. La IV symbolise la personne qui a le plus d’importance sur notre vie subjective. La X est importante sur le plan extérieur. La mère est en X jusqu’à 14 ans. A 40 ans, on vit, on a l’exemple du parent du même sexe. A 42 ans, c’est la remise en question de toutes les relations qu’on a établies; en cas de problèmes, on a tendance à répéter ce qu’a fait le parent du même sexe.
En IV, il y a beaucoup d’éléments insondables, tribales, raciales, familiales, avec l’âme, qui nous poussent à prendre position et qui n’est pas toujours compréhensible de l’extérieur. Il y a un défi, celui de faire l’expérience plutôt que de croire. Les valeurs qui permettent d’avoir confiance en soi, les moyens de donner une valeur personnelle à toute chose se trouvent en IV, c’est ce qui permet de s’intérioriser.

Maison3droite
blockHeaderEditIcon

 Les alchimistes savent qu’il faut déposer les minéraux dans un four, au fond d’un Athanor, qu’ils se décantent, se purifient. Et attendre que la Matière universelle première se soit suffisamment transformée pour être assez puissante pour servir de base à la transmutation.

Mais les expériences des alchimistes de la Renaissance cachaient un autre objectif: la transformation de l’alchimiste lui-même. Car l’alchimie est avant tout une quête spirituelle: la transmutation des métaux doit être vue comme la tentative d’un perfectionnement qui vise à atteindre le divin, autrement dit l’Or en soi. C’est donc la signification symbolique et spirituelle de l’Athanor qui nous intéresse ici.

Four alchimique ou four philosophique?

En alchimie spirituelle, on parle de «four philosophique» pour évoquer l’Athanor.

Ainsi le four n’a plus d’existence réelle: il est un espace mental dans lequel la transformation de l’individu va pouvoir s’opérer.

Le lieu de l’expérimentation est donc l’individu lui-même: son corps, son psychisme, sa conscience.

 C’est le maître du Fond du Ciel qui est le maître de la confiance en soi. Il nous dit comment où développer cette confiance. Avec des planètes en IV, on est capable de faire sortir à sa façon la richesse de sa culture, la richesse de sa collectivité où tout ce qui est statique, dogmatique dans la vie doit être remis en question. Réaliser que c’est des limitations, qu’il peut y avoir d’autres valeurs qui peuvent prendre la place. Prises de conscience avec des changements au niveau de ses racines. Si on a un centre on peut se manifester dans toutes les directions. Ne pas être comme un arbre avec ses racines, mais un individu développé intérieurement. Il faut trouver son centre dynamique qui veut nous attirer vers un monde nouveau.

Avec le Soleil en IV, on devrait dépenser beaucoup d’énergie pour s’individualiser, mais ne pas viser l’ambition égocentrique.

Pendant longtemps, nous faisons confiance à notre petit moi (l’ego), mais c’est un moi auquel nous ne pouvons pas faire confiance, il coupé de la présence d’une sagesse profonde. Par contre, notre Moi profond lui est relié à l’Esprit, par le Soi, l’essence d’une conscience individuelle qu’il nous appartient de développer. Si on ne fait rien, elle retourne là d’où elle est venue, de l’Esprit.

La personne qui a le Soleil dans la Maison IV devrait trouver au cours de cette vie ses racines profondes dans la vie de famille ou dans ses contacts avec ses parents. A un autre niveau, elle doit avoir un contact profond avec sa société. Elle doit chercher à exprimer les fruits de ce contact dans des œuvres personnelles.

Cette position donne l’assurance personnelle et peut-être une vie intérieure riche. Certains s’intéressent au passé, à la Tradition avec un T majuscule, comme source de vérité. D’autres se tournent vers leur héritage, leurs terres ou la richesse qu’elles contiennent. La recherche de sécurité peut devenir la motivation principale ou occasionner des soucis, au niveau socioculturel; il y a tendance à être conservateur. Le succès intérieur ou extérieur de la vie dépend en grande partie du point où l’on établit ses limites personnelles, psychologiques ou sociales.

Quand on commence à s’individualiser, on recherche de manière soutenue son centre individuel, ainsi que l’accomplissement conscient de ses potentialités innées.

Au niveau transpersonnel, le Soleil ici recherche une participation à la conscience et à l’activité d’un plus grand tout, selon sa façon de l’envisager. Ce peut être quelqu’un qui incarne les besoins d’un groupe, d’une classe, d’une nation ou de l’humanité tout entière.

Avec la Lune, on a de la peine à se séparer de la «mère», il faut s’adapter à la vie de tous les jours en changeant les valeurs du passé. Risque de sentir très fort les ambiances familiales.

Voici un exemple vécu par une femme qui a une conjonction Lune-Jupiter en IV: « Je m’éloigne de plus en plus de ma famille (Jupiter), mais en même temps, je crée une famille (Lune) de plus en plus large». L’expansion de Jupiter la pousse à s’éloigner de la famille. Mais il y a un problème, la famille ne veut pas reconnaître son conjoint, il ne rentre pas dans le clan et elle la menace de ne pas venir à son mariage. Le mariage se passe, mais sans ses parents et ses quatre frères et sœurs. Elle a besoin de prendre le large dans sa famille, mais le clan n’admet pas qu’elle parte, ça le désécurise. il a peur de l’éclatement de la cellule. Ceci se passe dans une famille bourgeoise, tous les dimanches à l’église, repas de famille, etc.

 Oser la différenciation afin d’être soi-même est légitime, mais c’est prendre le risque de se voir exclu du clan, de la famille. C’est une angoisse de sortir de la famille. Si on part, la famille est menacée. Il y a des familles très tribales, elles sont merveilleuses dans la mesure où on reste dans leurs choix. Mais si on les transgresse on est rejeté.

Lire ci-dessous le Nœud Sud de Mahatma Gandhi dans sa Maison IV

Maison3suitegauche
blockHeaderEditIcon

 La problématique du Nœud Sud en IV 

Avec le Nœud Sud en IV, symbole de paresse qui empêche de vivre le côté sacré de l’existence, qui consiste à vouloir rester chez soi, à favoriser la vie privée ou intérieure, la méditation, avec tendance à se dérober aux efforts à faire dans le domaine socioprofessionnel, Si c’est le cas, on risque d’avoir de plus en plus de problèmes dans sa vie privée, dans son foyer et aussi sur le plan psychologique. On n’évolue pas et vers la moitié de la vie les énergies qui jusque-là nous soutenaient s’amenuisent, on finit par disparaître.
Le défi, ce qui est positif pour l’évolution, consiste à s’exercer professionnellement, à chercher à édifier une situation dans sa communauté, y jouer un rôle valable. Il faut apprendre à extravertir ses énergies et ne pas se laisser dominer par ses émotions. C’est dans les expériences professionnelles et dans le monde, avec l’emploi du pouvoir social que nous avons grâce à la substance morale du Signe sur la cuspide de la Maison X, qu’on trouvera ce qui est nécessaire pour évoluer en tant qu’individu, pour affronter le monde et les responsabilités sociales.
Il est nécessaire de faire des choix en sachant que c’est vers la vie extérieure vers laquelle il faut aller. Cela demande un effort, c’est une activité qui a été peu expérimentée ou même pas du tout par le passé. Apprendre, au travers des risques que cela semble comporter, à générer soi-même la subsistance de son entourage, en travaillant «sans filets», sans terrains, sans maisons et sans biens issus d’autrui. C’est un véritable engagement, en un corps à corps avec la vie.
Il nous est demandé de nous adapter là où la Lune se trouve, c’est le symbole de la sensibilité. La Lune signe une grande popularité, on capte les courants. Il faut essayer d’incarner dans sa personne certains éléments qu’on cherche à partager avec la société. On peut être sensible aux courants psychiques qui touchent la société.

Maison3suitedroite
blockHeaderEditIcon
 

Près du pôle positif de son Nœud Nord, Gandhi avait la Lune en X en Lion. Il captait les courants collectifs et les a incarnés dans sa personnalité. On constate qu’il a mis toute sa force pour aller là aller où les gens avaient besoin d’affirmation, en leur disant: «Exprimez-vous, devenez pilote de quelque chose».

La bonne direction qu’il a su prendre a été de ne pas trop vivre sur la acquis de son passé, le foyer, la famille, comme sécurité, mais d’aller sur la scène sociale. Sa mission de vie a eu pour but de l’inciter à se dévouer pour la société et de se responsabiliser en acceptant d’assumer parfaitement ses obligations envers son peuple, pour cela il a dû développer son pouvoir social. C’est cela qui lui a permis d’en retirer tous les bénéfices en libérant son pays.

C’est aussi ce qui la rendu populaire sur la scène sociale, mais surtout qui l’a fait réussir son incarnation au point de tellement déranger, que nous connaissons la suite. Comme d’autres avant lui et après lui.

Tout en assumant de plus en plus les besoins des proches en allant dans cette direction, on conquiert progressivement la liberté de construire sa propre individualité, sa carrière, en dépassant sa trop grande sensibilité pour ceux qui vous aiment.

Il est demandé de grandir. Ceci requiert de se désengluer de ses fondements paralysants que sont des besoins enfantins de sécurité.

C’est en levant son bouclier de protection que l’on permet dès lors aux rayons de l’âme de nous atteindre et aux vécus extérieurs de s’harmoniser, de s’accomplir et de grandir.

Le 29 mars 2024

maison_conserver
blockHeaderEditIcon

Pour celles et ceux que la lecture sur un écran gêne ou qui souhaitent imprimer les documents de ces douze Maisons pour les conserver, vous pouvez envoyer votre demande à cette adresse: chdonze@hotmail.com.

Je me ferai un plaisir de vous les envoyer

maison-grande-image
blockHeaderEditIcon

La roue de l'expérience individuelle


 

Pseudo :
User-Login
Votre E-mail
*